Sanguine.
Collection privée (France).
Longtemps, le Sculpteur Pétrus est allé dans les salles de danse pour modeler et dessiner d’après les corps graciles et les mouvements des danseuses qui s’entraînent.
Il a ainsi pu étudier la gestuelle des corps, les muscles qui se tendent ou se courbent, la souplesse et la beauté du mouvement.
Cette sanguine illustre parfaitement cette recherche : un corps de femme est dessiné, mais c’est un corps qui bouge, un corps qui vit.